Signare
Cette lithographie constitue la première planche de l’Atlas qui accompagne Esquisses sénégalaises, l’ouvrage que l’abbé Boilat publia en 1853. L’abbé ne donne aucune indication sur la signare représentée. Il aurait pu s’agir de sa propre mère, mais celle-ci est décédée alors qu’il était très jeune. Il pourrait donc s’agir de sa nièce, avec laquelle il se murmure qu’il eut quelques affinités coupables.